Alors que l’État se montre toujours hostile à l’expérience sociale qui se mène ici ainsi qu’à une gestion collective des terres, nous continuons à défendre des modes de vies alternatifs à travers d’autres manières d’habiter, de produire et de partager, de vivre ensemble.
Au-delà des enjeux spécifiques au territoire que nous habitons, la ZAD continuera d’être un point de rencontre de celles et ceux qui luttent partout contre la destruction du vivant, contre la précarisation et l’individualisation de leurs vies, contre les violences policières et toutes les dominations.
C’est pourquoi durant ces dix jours — dont le point culminant sera le week-end du 13 au 15 — sont conviées une diversité et une richesse d’intervenant·e·s qui proposeront des dizaines d’animations, de chantiers, de conférences et de projections, de concerts et d’autres moments conviviaux.
Ce sera un événement festif et constructif dont on espère qu’il ne sera pas troublé par la violence des forces de l’ordre.
Une conférence de presse aura lieu le vendredi 13 à 11 heures sur le site de l’événement.
Pour plus d’informations sur le programme, consultez la page web [bleu violet]zadenvies.org[/bleu violet], écoutez [bleu violet]Radio Klaxon[/bleu violet] sur 107.7 FM autour de la ZAD ou sur le streaming et pour d’autres renseignements, [bleu violet]zad.nadir.org[/bleu violet].
Source : [bleu violet]zad.nadir.org[/bleu violet]
8 juillet 2018.