Film sur les conditions de santé dans le nord-ouest indigène du Mexique, recueillant des témoignages et des expériences dans les États de Sonora et de Basse-Californie chez les peuples autochtones Seri, Guarijío, Pima, Mayo, Yaqui, Pápago, Cucapá, Kiliwa, Kumiai et auprès de travailleurs agricoles migrants.
Ce travail a été commandé par la Red Indígena Noroeste (Réseau indigène du Nord-Ouest).
Terra Nostra Films est une maison de production mexicaine qui se consacre principalement au documentaire. Les membres fondateurs, nous sommes mexicains et français, avec des études supérieures en philosophie, cinéma, anthropologie, humanités et développement, et nous avons plus de dix ans d’expérience dans la production audiovisuelle.
Nous pensons que le documentaire nous permet d’habiter un peu mieux le monde où nous vivons, en le voyageant, en le parcourant, en allant à la découverte de ses multiples visages. Nous ne voulons pas nous enfermer dans une esthétique unique mais nous laisser la possibilité de chercher, à chaque nouveau projet, la façon la plus juste d’exprimer les mondes que nous approchons. Nous ne cherchons pas essentiellement l’étude distante de « cas » sur lesquels on se penche mais plutôt l’empathie avec celles et ceux qui nous invitent à partager leurs rêves et leur réalité.
Nous avons commencé par une série de dix documentaires de courts et moyens métrages tournés dans le nord-ouest du Mexique (2006/2007), suivie du long métrage documentaire ¡Viva Mexico ! (2009). Ce film a obtenu plusieurs prix internationaux et a marqué nos débuts dans la diffusion par l’organisation de tournées de projections au Mexique et en Amérique du Sud (2010) ainsi qu’en Europe et aux États-Unis (2011). Ces dernières années nous avons aussi réalisé des vidéos pour des organisations sociales et des institutions éducatives, et nous venons de coproduire le documentaire franco-mexicain Souviens-toi d’Acapulco (2013).
D’autres projets sont en cours d’écriture pour être tournés au Mexique et sous d’autres latitudes. Ils pourront être différents dans leur forme, voire dans leur genre, mais ils aimeraient être fidèles à cet enseignement premier du cinéma : un voyage à la rencontre de l’autre et de ses mondes.