(...) en premier lieu nous pensons qu’il est bon de commencer par le commencement.
Et le commencement, ce sont nos compañeras et compañeros injustement emprisonné-e-s depuis le début du mois de mai 2006, suite à la répression sauvage déclenchée contre les habitants de San Salvador Atenco. Certains et certaines ont déjà été relâchés, mais d’autres restent encore injustement incarcéré-e-s, notamment le compañero Ignacio del Valle, membre du Front communal pour la défense de la terre (FPDT). Nous le nommons, lui, non par oubli ou parce que nous négligerions les autres, mais parce que son cas illustre parfaitement l’injustice faite loi et institution qui règne dans ce Mexique agonisant. (...)